Techniquement parlant, je ne suis pas complètement seul. [Terminé]

• NOM : Thomas

   • PRÉNOM : Mercer

   • ÂGE : 24 ans

   • Orientation sexuelle : Bisexuelle

   • MÉTIER : Réponse

   • GROUPE : Humain

   • HABITATION : Appartement

   • ARME PRINCIPAL : Aucune

   • POUVOIR PRINCIPAL: Peut disparaître dans ses pensées, littéralement.

   • ARME OU POUVOIR SECONDAIRE : Aucune

   • CAUSE DE LA MORT : Noyade

   • DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ES-TU ICI ? : 1 ans />
   • AVATAR : Nom et source

Mercer est...Unique. Présomptueux, prétentieux, solitaire, silencieux, calme et téméraire sont tous des mots qui peuvent le décrire. Sa personnalité fluctue énormément en fonction des paroles que lui souffle la voix dans la tête. En règle général, Mercer est un bon gros connard mais sans plus. Pas de tendance meurtrière ni rien au moins, c'est déjà ça. Côté morale, Mercer n'en as pas en fait, c'est plus simple d'expliquer ça comme ça. Mercer accumule les vices depuis bien longtemps et cette nouvelle vie ne va certainement pas changer ça. La voix qui résonne dans sa tête n'aide pas particulièrement non plus, cette voix semble le pousser à assouvir ses pulsions les plus sombres.

La voix qui résonne dans la tête de Mercer est là depuis plusieurs années déjà, d'aussi longtemps qu'il peut s'en souvenir. Cette voix masculine et profonde souffle au creux de son oreille ou encore dans son esprit toute sorte de paroles qui, avec le temps, ont finit par s'ancrer dans son esprit.

Mercer a ce qu'on pourrait qualifier de physique passe-partout. Sa sature n'est pas particulièrement impressionnante et ses traits non plus si ce n'est de la paire d'onyx qui brille dans son regard. Tout ça n'est qu'une jolie expression pour dire que son regard est sombre, très sombre. Opaque en fait, voilà le terme. Pour le reste, Mercer arbore habituellement une tenue sombre composée du trench coat type louche et des jeans noires sans-âme. Mercer ne se fait pas non plus remarquer par sa taille, du haut de son mètre soixante dix, Mercer se retrouvant souvent à être plus petits que les gens qui l'entoure, le tout blessant particulièrement son ego.

Techniquement, je ne suis pas complètement seul dans ma tête. Je prends d'ailleurs des cachets pour faire taire mes autres personnalités et...Bien sur que je me fout de votre gueule. Partiellement du moins, je ne suis vraiment pas complètement seul dans ma tête et je ne l'ai jamais vraiment été. D'aussi loin que je puisse me souvenir, j'avais toujours eu ce petit démon sur mon épaule qui me soufflait de mettre à feu et à sang le monde...Plus ou moins, disons que je dramatise légèrement. Il fallait dire que j'étais née dans une famille catholique pratiquantes, par conséquent, les pensées impures que me soufflaient ce petit démon avaient toujours plutôt en contradiction avec les valeurs que tentaient de m'inculquer mes parents. J'avais donc finit par être envoyé dans un pensionnat religieux histoire de tuer le peu de temps libre et de joie de vivre que j'avais toujours.

Évidemment, j'ai finis par décider de prendre des..."Vacances" d'une durée indéterminée auprès de mes gardiens et j'étais donc parti explorer ce vaste monde. Je m'étais donc laissé embarqué par mon démon de compagnie dans de folles aventures, un peu comme je me serais laissé embarqué par Peter Pan, sauf que cette fois, l'ange de la mort ne m'emmenait pas au paradis mais en enfers. Durant les quelques trois années de mes "vacances", j'avais principalement volé et parié afin de me tenir à flot. Croyez le ou non, mais se tenir dos à un mur ne vous sauvera pas forcement durant une partie de poker. On m'avait saisit après une soirée où j'avais enchainé une série de victoires toutes plus cuisantes les unes que les autres avant de m'emmener aux docs. Paraissait-il que j'avais dépouillé le fils d'un type dont la femme couchait avec le juge qui lui était ami avec un gangster connu. Un truc du genre, je n'ai pas eu bien le temps d,écouter alors que mon corps fendait la surface de l'eau dans laquelle on m'avait jeté. J'avais tenu une minute quarante-sept avant de succomber à...et bien l'absence d'oxygène dans mes poumons, comme quoi, même dans la mort j'étais un pro.